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Comment ne pas être choqué, attristé face à de tels événements où que ce soit dans le monde ? Un élan de solidarité est apparu aussi dans la population algérienne alors que les relations entre les deux pays sont tendues.
Ça montre les limites de notre puissance face à de tels événements mais aussi l'unité de l'humanité.
Précédents :
En 1981, en Italie, c'était la chute l'Alfredo Rampi, un garçon de six ans dans un puits artésien de 80 m.
En 1985, en Colombie, c'était Omayra Sanchez, une fillette de 13 ans qui ne put être sauvée suite à une éruption volcanique qui avait entraîné un glissement de terrain.
En 2018, Ayache Mahdjoubi (31 ans), chute au fond d’un puits artésien de 30 m au village Oum Echemel dans la commune de Houamed (75 km au Sud-ouest de M’sila ,à env. 200 km au sud-est d'Alger en ligne droite), a été confirmé, a indiqué dimanche le directeur de wilaya de la protection civile, le colonel Fouad Laalaoui. (El Watan)
En 2019, en Espagne, c'était Julen Rosello, un garçonnet de 2 ans, tombé dans un puits d'une centaine de mètres à Tolalan, près de Malaga,
Mais il y a eu aussi des fins heureuses :
En 1987, aux États-Unis, dans le Texas : Jessica McClure, un bébé de 18 mois finalement sauvée après 58 heures d'efforts des secours suite à une chute dans un puits de 7 m.En 2016, en Chine, un enfant de 3 ans tombé dans un puits de 90 m est finalement sauvé peu après sain et sauf dans la région de Weifang.
"Les équipes de secours ont d’abord envoyé un appareil équipé d’une caméra pour repérer le petit avant d’envoyer des cordes qui ont permis de saisir le bras de l’enfant et le hisser à l’extérieur. Cette intervention exemplaire a duré quelques heures." (SNRT News, Maroc)
“Dans ce cas précis, alors qu’il était impossible pour un adulte de descendre en rappel dans la cavité, un appareil équipé d'une caméra avait été utilisé pour le repérer puis de l’oxygène injecté pour lui permettre de respirer. Des cordes avaient ensuite permis de saisir le bras de l’enfant au lasso pour le hisser à l'extérieur. Trois ans plus tôt, un sauvetage similaire dans le pays, avait permis de remonter sain et sauf un petit garçon âgé de deux ans cette fois.“ (TF1)
Une solution ?
Comme l'utilisation d'engins lourds tels que des pelleteuses peut prendre des journées et exposer à des risques d'éboulement, ne serait-il pas possible de concevoir des harnais qui permettraient, au moins dans certains cas, de combiner et de perfectionner les moyens existants :
- éclairage par leds
- caméra
- moyen de communication orale
- câble pour procurer nourriture et boisson
- bouillotte spéciale
- ballon gonflable permettent au moins de sortir de l'eau froide par gonflage au-dessous de la victime
- tuyau pour l'approvisionnement en air pur ou/et aussi réchauffé
- cordes, sangles, Velcro,
- harnais adaptable à de multiples situations
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